Un mode d’emploi…
Photographie, Voyage, Idées, Coup de gueule
e de Lilia et Oilid. Oilid est un collègue du travail qui commençait quasiment en même temps que moi. Pour moi, ce mariage était particulier, car je n’ai jamais été à un mariage musulman ou berbère.
etits fours et on buvait du thé ou du café. Les mariés se trouvaient sur un canapé argenté sur la scène, qui était richement décorée. Puis tout le monde dansait à la musique aux tambours et venant de la sono.
A temps pour le Salon du livre de Francfort, un nouveau genre de gadget électronique cherche à créer un nouveau marché en Europe : le e-book reader. C’est un livre électronique qui utilise un écran spécial ressemblant beaucoup au papier classique. Les caractères ou images sont affichés à l’aide d’encre électronique (e-ink). Par rapport aux ordinateurs portables, téléphones ou PDAs le livre électronique a quelques avantages : car l’accu tient une éternité, l’appareil est léger et l’écran très lisible (même au plein soleil). L’écran e-ink est pour le moment disponible en noir et blanc, mais je pense qu’on peut se passer de la couleur pour lire un livre.
Aujourd’hui j’ai appris quelque chose en préparant des cartes de remerciement à faire imprimer dans une imprimerie. Ce que je savais bien, c’est que les imprimeries préfèrent des fichiers images CMJN (CMYK) donc avec les couches cyan, magenta, jaune et noir (cyan, magenta, yellow, black). C’est donc différent du RVB (RGB) habituellement utilisé pour les photos, qui enregistre les couches de couleur rouge, vert et bleu (red, green, blue).
ge en grande partie la côte sud-est de Cuba pour ensuite traverser la Sierra Maestra. Aucune route n’est aussi contrastée et aussi belle. Près de la côte, on peut voir les vagues d’une mer belle s’écraser contre les rochers et en montagne, la vue splendide sur les collines vertes d’arbres étonne. Il est parfois interdit de photographier près de la côte, car c’est considéré comme terrain militaire, mais nous n’avons pas pu résister !
surchargée de touristes, mais la visite vaut vraiment le coup. A Viñales, il est très facile de trouver un logement sympathique et à partir de cet endroit, il faut tout simplement explorer la région. La vallée est composée de rochers de calcaire couvert d’arbres (les mogotes) qui r
endent unique le paysage. A une heure de route se trouve l’île Cayo Jutías. On peut y accéder en voiture grâce à un pont coupant la baie en deux. Une petite plage avec restaurant est ensuite accessible à pied. L’eau est magnifique et une grande partie de la plage couverte de vieux arbres se visite à pied.
t souvent vivement critiquée, car il s’agit d’une ville entièrement refaite pour attirer les touristes. Mais je trouve qu’il faut quand même la voir, car c’est une très belle ville ! En plus, nous avons eu la chance de trouver (grâce au Guide du Routard) une Casa Particular de rêve : une vieille maison de ville décorée dans le style des années 50, avec arrière-cour verte. Notre chambre se trouvait au fond du jardin, c’était simplement magnifique.
me balader. La grande partie des villas (en état très variable) était construite pendant les années 50 sous Batista. C’était le nouveau quartier des riches et c’est ici qu’on trouve les grands hôtels et anciens casinos.
arché dans la ville de Camagüey qui vaut le détour. On y trouve des produits alimentaires payables en pesos cubains. Malheureusement, fin 2008 n’était pas la meilleure période de récolte, car trois ouragans ont ravagé le pays en 2008.
rteresse de la Cabaña. Elle se visite à pied en cache de très beaux endroits. En plus, la vue sur la vieille ville est vraiment superbe.
Marseille de Cuba. Les gens vivent encore plus dehors que les Havanais, donc toutes les rues sont très animées. La ville est belle à visiter, sauf que les rabatteurs sont particulièrement agressifs ici. Ils ne vous lâchent pas.
ane est un très beau quartier, entièrement refait… pour les touristes. J’avais un peu l’impression de me trouver au Disney Land Castroien. Surtout pendant la haute saison, l’affluence touristique est insupportable. Quand même… ce quartier se trouve dans mes tops 10, car les bâtisses sont terriblement belles !
… film !
, on doit se contenter de filtres numériques pour simuler « l’effet polaroid », mais ça reste tout de même un peu moins rigolo que le vrai pola, car on contrôle tout. C’est ce que je pensais encore hier ! Aujourd’hui, j’ai découvert un logiciel bien rigolo, qui permet de faire des faux-polas à partir de n’importe quelle photo numérique : Polaroid Image Maker dispo sur http://www.polaroid.net/
polaroid apparait sur l’écran. Déplacer une photo sur cet appareil suffit pour lancer la transformation en pola. Après un court instant de calcul, une image brune apparait et comme pour un vrai pola, il faut patienter quelques minutes pour le développement. Le truc génial est que le développement peut être interrompu à n’importe quel moment, pour enregistrer le résultat intermédiaire.